3 octobre 2008
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David et (la très regrettée) Leigh Eddings, Pocket Fantasy.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu une déception littéraire de cette importance... face à la décalogie de ses débuts que j'ai du lire une bonne demi-douzaine de fois, en français ou en anglais et qui a fait partie de mes lectures de grossesse (honneur suprême), je m'attendais au moins à ressentir un intérêt poli comme pour ses autres bouquins.
Mais non seulement j'ai trouvé ça rasoir de bout en bout, mais comble du désapointement, nul en terme d'histoire, de style littéraire et de construction des personnages, son point fort auparavant à mon avis. Il sont creux, plats, inintéressants et le toute minuscule pointe d'humour de leurs dialogues ne m'a fait aucun effet. Ils auraient aussi bien pu crever tous un par un, je n'aurais rien ressenti...
Peut-être que je me fais vieille ou que tout venait de Leigh aujourd'hui décédée... Le milieu du livre (page 100 à 300 sur 450...) est entièrement consacré aux mêmes évènements narrés de manière fort redondante par 5 ou 6 personnages à la suite. La première version étant déjà barbante, la relire 5 fois de suite, malheur... Du remplissage pur et simple pour expédier ensuite la bataille finale contre deux armées immenses en 50 pages, avec l'équivalent épique d'une scène familiale dans les films de Shyamalan, les héros en spectateurs inactifs et patients contrairement à moi...
J'étais ressortie de la Belgariade et de la Mallorée désespérée de me dire que je ne retrouverais plus de tels moments d'amusement littéraire (Harry Potter est passé par là depuis). Mais là je peux dire que je ne pense pas retrouver avant longtemps un livre qui me déplaise autant.
Quand je pense que je l'ai offert à l'une de mes meilleures amies... Il va falloir que je rattrape ce cadeau carrément empoisonné !
Et il y a encore deux volumes... Et j'ai déjà acheté (et offert) bêtement le suivant en toute confiance...

Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu une déception littéraire de cette importance... face à la décalogie de ses débuts que j'ai du lire une bonne demi-douzaine de fois, en français ou en anglais et qui a fait partie de mes lectures de grossesse (honneur suprême), je m'attendais au moins à ressentir un intérêt poli comme pour ses autres bouquins.
Mais non seulement j'ai trouvé ça rasoir de bout en bout, mais comble du désapointement, nul en terme d'histoire, de style littéraire et de construction des personnages, son point fort auparavant à mon avis. Il sont creux, plats, inintéressants et le toute minuscule pointe d'humour de leurs dialogues ne m'a fait aucun effet. Ils auraient aussi bien pu crever tous un par un, je n'aurais rien ressenti...
Peut-être que je me fais vieille ou que tout venait de Leigh aujourd'hui décédée... Le milieu du livre (page 100 à 300 sur 450...) est entièrement consacré aux mêmes évènements narrés de manière fort redondante par 5 ou 6 personnages à la suite. La première version étant déjà barbante, la relire 5 fois de suite, malheur... Du remplissage pur et simple pour expédier ensuite la bataille finale contre deux armées immenses en 50 pages, avec l'équivalent épique d'une scène familiale dans les films de Shyamalan, les héros en spectateurs inactifs et patients contrairement à moi...
J'étais ressortie de la Belgariade et de la Mallorée désespérée de me dire que je ne retrouverais plus de tels moments d'amusement littéraire (Harry Potter est passé par là depuis). Mais là je peux dire que je ne pense pas retrouver avant longtemps un livre qui me déplaise autant.
Quand je pense que je l'ai offert à l'une de mes meilleures amies... Il va falloir que je rattrape ce cadeau carrément empoisonné !
Et il y a encore deux volumes... Et j'ai déjà acheté (et offert) bêtement le suivant en toute confiance...
